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[Expérience Client – Stelliant] Evaluer les soft skills pour construire une vraie culture managériale !

PerformanSe|3 min. de lecture|10 fevrier

Stelliant est un groupe novateur de services à l’assurance qui compte aujourd’hui près de 2700 collaborateurs. Issu des métiers de l’expertise, il a grandi rapidement et s’est beaucoup diversifié - notamment par croissance externe - pour offrir à ses clients assureurs une chaîne de métiers complémentaires, allant du conseil en gestion de risque aux contact centers, et de la réparation après sinistres aux questions de cyber-sécurité.

Laurent Gontard - Directeur du Développement RH - nous explique ainsi comment et pourquoi il utilise aujourd’hui différentes solutions d’évaluation des soft skills au service de la construction en interne d’une vraie culture managériale.


Pourquoi chercher à évaluer les soft skills, au fond ?

Compte tenu du mode de développement du Groupe, la mise en œuvre d’une culture managériale fédératrice est pour nous particulièrement importante. Ce qui nous conduit à donner aux soft skills une importance essentielle - notamment en recrutement bien sûr, mais aussi dans le choix de nos managers internes - car ce sont elles qui vont donner au Groupe sa couleur propre, son énergie spécifique et sa cohérence de fonctionnement. Il est donc logique que nous cherchions alors à toujours mieux les définir et les évaluer…


Quelles sont les soft skills que vous avez identifiées ainsi comme prioritaires au sein du groupe Stelliant ?

Nous nous concentrons aujourd’hui surtout sur trois dimensions complémentaires : le sens de la relation client tout d’abord, l’écoute, la capacité à créer de la confiance ; la curiosité ensuite, une vision large, une ouverture à des fonctionnements transverses, au-delà des habitudes et des silos ; un sens de l’intrapreneuriat enfin, une capacité d’initiative, une envie de fonctionner en mode « test and learn », d’autant plus indispensable que le groupe a grandi par absorption successives de petites structures indépendantes.


Quels outils avez-vous choisi d’utiliser en regard ?

Nous sommes formés à plusieurs tests psychométriques PerformanSe, que nous utilisons séparément ou de manière combinée, en fonction des profils ou du contexte.  Nous nous appuyons sur l’outil ECHO en majeur, plutôt pour le recrutement sur des fonctions supports ; que nous combinons à Manage-R pour les décisions de nominations managériales, et enfin nous avons dernièrement intégré WeSuggest principalement pour le recrutement de téléconseillers. Les trois outils nous donnent ainsi des clés de lecture précises pour chacune de nos populations cibles et participent ensemble d’une meilleure intégration des soft skills dans nos processus d’évaluation.

Plus que jamais, dans un monde où l’expertise technique ne suffit plus, où les softs skills deviennent incontournables, la connaissance de soi devient un facteur clé de réussite...

Quels sont pour vous les principaux apports de ses outils, en recrutement ?

Les outils PerformanSe nous offrent une connaissance accélérée des grandes tendances comportementales d’un candidat, ils nous permettent ainsi de savoir plus vite et plus précisément ce qui le motive et comment il fonctionne. A partir de ces résultats, nous disposons d’une vraie base de discussion avec le candidat et nous pouvons conduire un échange d’autant plus complet et vivant. Leur usage contribue aussi à créer en interne une culture renforcée des soft skills. Les questions que pose la définition des profils en effet, le choix des critères associés, la co-construction et le partage avec les managers… tout concourt à une « évangélisation » progressive !


L’évaluation des soft skills vous permet aussi de sécuriser vos décisions de promotion en interne ?

Oui, nous utilisons ensemble ECHO et Manage-R au sein de ce qui constitue un dispositif complet d’assessment center nous permettant d’évaluer la capacité de management de collaborateurs pressentis pour une promotion. Mais l’idée serait surtout à terme de permettre à tous les managers en poste d’en bénéficier aussi, de façon à mieux se connaître pour mieux progresser dans la fonction. Personnellement, je suis vraiment persuadé en effet que mieux on se connaît, plus on peut se développer au travail. Plus que jamais, dans un monde où l’expertise technique ne suffit plus, où les softs skills deviennent incontournables, la connaissance de soi devient un facteur clé de réussite.

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