PerformanSe X Elliot Papadiamandis
Soft SkillsEchecs ♟️

On sponsorise un maître international d’échecs ♟️

PerformanSe|4 min. de lecture|5 octobre

Depuis son post LinkedIn qui a affolé la toile, Elliot Papadiamandis, dans sa recherche de sponsor, a trouvé preneurs. Tout d’abord dans son secteur de prédilection avec Immortal Game pour qui il devient un ambassadeur aux côtés de Maxime Vachier-Lagrave (champion du monde de blitz). Aujourd’hui, nous sommes ravis de vous annoncer que PerformanSe devient un des sponsors de ce jeune talent ! Notre secteur des ressources humaines et des soft skills, bien qu’éloigné des 64 cases, a su lui faire écho au-delà de l’aide financière qu’un contrat de sponsoring propose.


Elliot, c’est qui ?

Le monde des échecs ne vous est peut-être pas familier, du coup, des présentations s’imposent. Elliot a 17 ans et il est maître international (MI). Ce rang de MI est le second titre le plus prestigieux du jeu d’échecs derrière celui de Grand Maître (GM/GMI). Pour vous donner l’ordre de difficulté d’obtention d’un titre échiquéen, la fédération française d’échecs a environ 60 000 licenciés et 465 joueurs titrés au total dont 50 GMI et 118 MI (chiffres de 2018).

Derrière les chiffres et les compétences techniques de ce talent brut se cache une personnalité qui a su nous séduire. Son authenticité et son courage. Authentique, car son message LinkedIn jeté comme une bouteille à la mer a atteint les sommets uniquement grâce à sa transparence et son honnêteté. Une personnalité confirmée par nos échanges et nos tests d’évaluation des soft skills 😉.


Pourquoi les échecs ?

Au-delà du sponsoring, le monde des échecs a beaucoup de similitudes avec notre métier d’éditeur-conseil dans l’évaluation des soft skills.

1 – Les échecs stimulent nos habiletés cognitives, PerformanSe aussi

Non, la pratique des échecs ne nous rend pas plus intelligents (au sens du quotient intellectuel). En revanche, elle nous permet de stimuler quelques habiletés cognitives comme : la pensée logique, le raisonnement et notre imagerie mentale.

Chez PerformanSe, on évalue les habiletés cognitives des candidats et collaborateurs en phase de recrutement et d’évolution de carrière pour faciliter la tâche des recruteurs, mais surtout pour donner des armes de développement à l’évalué.


2 – Les échecs développent nos compétences comportementales

Plus facile d’associer ce jeu à notre cognitif qu’à nos comportements et pourtant sa pratique à un impact majeur sur plusieurs de nos soft skills :

La créativité

En activant simultanément l'hémisphère droit et gauche (de notre cerveau), les échecs nourrissent notre logique, mais aussi notre pensée créative et notre originalité. Quand on est en face d’un joueur défensif ou plus fort, on se doit de devenir créatif dans nos coups et stratégies.

Dans un contexte où l’innovation est le moteur de la compétitivité de nos organisations, cette soft skill est une des plus recherchées par les recruteurs. D’ailleurs au-delà de pratiquer les échecs, si vous soulez quelques conseils pour développer et comprendre la créativité, on vous recommande notre podcast « Soft skill, qui es-tu ? ».

Si tous les artistes ne sont pas des joueurs d'échecs, tous les joueurs d'échecs sont des artistes
Marcel Duchamp

La prise de risque

La capacité à évaluer efficacement les risques et leurs conséquences permet de prendre des décisions en connaissance de cause et avoir une prise de risque calculée. Il faut parfois risquer de perdre une pièce pour gagner (cf.image). Une soft skill que les échecs développe et familière au monde professionnel.

chess image puzzle


Ci-dessus un exemple de « prise de risque », de créativité et surtout une reconnaissance de schémas tactiques. Trait aux noirs, ce qui veut dire que c’est aux pièces noires de bouger. Le sacrifice d’une pièce peut parfois mener à la victoire (prise de risque calculée), car si notre dame se déplace en g1 (Dg1+) pour délivrer un premier échec, le coup des blancs devient forcé : tour prend Dame (Txg1), le roi ne pouvant pas manger grâce à la protection offerte par le fou en c5. Ensuite, le prochain coup des noirs est fatal, car il délivre le fameux échec et mat avec le coup cavalier f2 (Cf2#) qui emprisonne le roi blanc définitivement.


L’intelligence émotionnelle

Par intelligence émotionnelle, on entend ici la capacité à gérer nos propres émotions par la prise de recul, la patience et notre gestion de l’adversité. Une des leçons que nous apprend les échecs est de ne pas céder à notre impulsivité et de toujours garder notre calme et notre sang-froid même face à une situation défavorable.

En situation professionnelle, la gestion du stress et la patience sont des compétences clés pour réussir. Les évaluer en phase d’onboarding favorise l’efficacité managériale future et la performance de l’individu.

Si les échecs ont un rapport avec la réalisation de films, ce serait dans la manière dont ils vous aident à développer la patience et la discipline
Stanley Kubrick

3 – Les échecs pour le développement personnel, PerformanSe pour le développement des talents

Pour ceux qui ont déjà joué et pour ceux qui vont commencer à y jouer après avoir lu cet article 😉, le « roi des jeux » est un aussi vecteur de développement personnel. Il nous apprend comme beaucoup de sport à assumer nos erreurs, de rebondir après et d’avoir confiance en soi.

Donner plus de connaissances aux individus sur leurs soft skills favorise aussi le développement personnel et la confiance en soi. Et c’est notre métier 😍.


Vous l’avez compris les parallèles entre le monde des échecs et notre métier sont nombreux. Notre association à Elliot s’est donc faite naturellement. Encore une fois, on est ravi d’annoncer son arrivée dans la famille PerformanSe et de l’accompagner dans sa conquête du top niveau mondial. Attendez-vous à des contenus (articles, webinars et vidéos) et plein de surprises en association avec lui…

Stay tunned !

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