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[Expérience Client – Pierre Martinet] Quand les résultats des tests psychométriques convainquent même les plus sceptiques...

PerformanSe|3 min. de lecture|30 mars

Pierre Martinet est un groupe d’industrie agro-alimentaire spécialisé dans les salades traiteur. PME familiale, toujours dirigée par son créateur éponyme, « traiteur intraitable depuis 1968 », la société a connu une croissance régulière pour atteindre aujourd’hui plus de 700 personnes, avec 5 ateliers de fabrication en France.

Thomas Rolland, Responsable des Ressources Humaines chez Pierre Martinet, y a vécu ainsi l’introduction des tests psychométriques, en appui de recrutements importants ou d’assessments internes sur des changements de poste. Il nous parle de son expérience, de ses convictions actuelles… et de ses réticences à l’origine !



Qu’est-ce qui vous a donné l’envie d’utiliser des tests psychométriques en appui de vos recrutements ?

Au départ j’étais largement sceptique, je le reconnais. Scientifique de formation, j’avais beaucoup de mal à croire à la validité de tests aussi rapides, ne reposant que sur un nombre limité de questions simples. Mais la formation à l’outil ECHO, le test de personnalité et de motivations professionnelles de PerformanSe m’a convaincu… et surtout les résultats de mon propre test ! Quand j’ai vu à quel point le bilan me correspondait vraiment, finement - et de même pour mes collègues - je n’ai pu que souscrire à l’exercice. Mais c’était très étonnant pour moi, qui n’y croyais pas au départ !



Quand et comment utilisez-vous concrètement les tests aujourd’hui ?

Chez Pierre Martinet, nous utilisons ECHO en recrutement, généralement après un premier entretien RH réussi, pour des candidats en short list sur des postes de commerciaux ou de managers. Et nous l’utilisons aussi pour éclairer et sécuriser des décisions de mobilité interne importantes, notamment managériales.



Quel est pour vous le principal apport d’ECHO en recrutement ?

L’outil nous permet surtout de mieux mesurer la compatibilité d’un candidat avec son manager potentiel. Selon moi, il y a des risques forts d’échecs – malgré des candidats compétents et motivés – liés à un décalage entre les attentes des uns et les comportements des autres. Or, si la compétence s’appréhende plutôt bien par le CV et la motivation dans l’entretien, c’est toujours plus difficile d’anticiper l’adéquation entre deux individus. ECHO nous en offre une lecture possible. D’autant que – culture d’entreprise oblige - nous cherchons des candidats souples, mobiles, capables d’innover, mais aussi d’accepter en même temps un management vertical. Ce qui n’est pas si simple… surtout avec les générations les plus jeunes qui attendent un manager plus horizontal !

Je reste à chaque fois bluffé par la pertinence d’ECHO. Informaticien de formation, je serai vraiment curieux de percer les secrets de l’algorithme ! C’est une performance de pouvoir ainsi - en 70 questions simples et 10 minutes seulement - décrire aussi finement une personnalité et son comportement au travail !

Les résultats des tests influencent-ils directement vos décisions ?

Oui, notamment quand les comportements que le test décrit sont difficilement compatibles avec ce que nous connaissons du manager concerné. Mais l’inverse peut être vrai aussi… Les résultats du test peuvent nous aider à mieux valoriser des candidats discrets, timides ou taiseux par exemple, qui n’aiment pas parler d’eux en entretien, mais sont pourtant capables d’une vraie qualité d’échange dès qu’on les sollicite sur leur métier. Grâce à des idées très intéressantes de questions complémentaires à poser en entretien, ECHO nous aide à être plus créatifs et nous permet des échanges plus riches avec le candidat !


Et quels sont pour vous les principaux apports d’ECHO pour des décisions de mobilités internes ?

ECHO nous aide à prendre du recul, à mieux peser et argumenter nos décisions. Les décisions de promotion interne sont toujours très importantes pour tous : le candidat retenu, ceux qui ne le sont pas, le manager de l’ensemble et tout l’environnement de travail. Or, elles sont parfois difficiles à objectiver, dans des contextes où tout le monde se connaît – ou croit se connaître – déjà très bien. L’usage d’un test psychométrique rend le processus plus équilibré, plus transparent, mieux partagé, donc mieux accepté en interne.


En conclusion, que diriez-vous à des pairs qui hésiteraient à utiliser ECHO ?

Que, personnellement, je reste à chaque fois bluffé par la pertinence d’ECHO. Informaticien de formation, je serai vraiment curieux de percer les secrets de l’algorithme ! C’est une performance de pouvoir ainsi - en 70 questions simples et 10 minutes seulement - décrire aussi finement une personnalité et son comportement au travail !

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